Et puis aussi, j’ai découvert mes nouveaux héros, ceux qui ont eu assez de courage pour se révéler dès que l’état d’urgence à été déclaré. Personnels des hopitaux ou des Ehpads, caissières de supermarchés, éboueurs, je vous tire mon chapeau. Vous avez montré la voie avec votre courage admirable. Aujourd’hui, je veux essayer de me ranger à vos côtés. J’ai bien conscience de ma fragilité, mais la cause qui nous occcupe a besoin du plus grand nombre, alors j’en serai, quitte à n’avoir dans la poche et comme seule arme le couteau suisse que j’ai sorti du placard, et dont vous me direz ce que vous en pensez. Merci d’avance.